Des pom-pom girls font une chorégraphie lors d’un match de basket.
Public : Hey!
Public : Deux!
Public : Allez!
Public : Allez!
Public : Euh...Oh!
Public : Qu’est-ce qu’il arrive?
Coach : En arrière, en arrière. Jasmine?
Mme West : Excusez moi. Excusez moi.
Coach : Jasmine? Tu m’entends?
Mme West : Bébé!
Coach : Oh, je suis désolé. Etes … êtes vous sa mère ?
Mme West : oui!
Coach : je suis désolé, mais je ne pense pas que nous devrions la toucher. Elle est tombée sur la tête. Vite appelez une ambulance! Appelez le 911!
Radio : Medic 114, un appel pour une chute au Waverly High School gymnasium...
Jeune femme de 17 ans.
Nancy : OK, tout le monde, poussez vous. Pouvez vous nous faire de la place? Merci.
Coach : Je pense qu’elle s’est cassé le cou.
Nancy : Ok, pouvez vous continuer à tenir sa tête ?
Mme West : S’il vous plait, sauvez ma fille.
Glenn : Nous allons faire tout notre possible pour votre fille. Laissez nous seulement la place pour travailler.
Nancy : Comment s’appelle votre fille?
Mme West : Jasmine.
Nancy : Jasmine, est-ce que tu m’entends? Jasmine. Bien, je la tiens.
Glenn : D’accord, Nance. Pulsation 82%. Respiration à 12. Tu veux que je pose la minerve?
Nancy : Non, son cou n’est pas en position normale.
Glenn : elle a besoin d’air. Tu veux que je m’occupe de l’oxygène de suite ?
Nancy : Oui, mais d’abord, nous devons remettre sa tête en place.
Mme West : Oh, mon dieu!
Nancy : Ce n’est pas grave. Ca va bien se passer. Tu la tiens?
Glenn : Je l’ai.
Nancy : continue, tiens la bien.
Glenn : Vas y.
Nurse : Oui C’est Nancy.
Dr Joe : Nancy, qu’est-ce qu’il y a?
Nancy : J’ai une pom pom girl de 17 ans avec une fracture probable du cou. Ventilation difficile. J’ai besoin de faire rapidement une intubation. C’est un appel d’urgence, Joe.
Dr Joe : Je ne peux pas te donner officiellement le feu vert.
Nancy : Elle risque de mourir si je ne le fais pas. Donc, je te l’apprends avant.
Dr Joe : Tu es le médecin sur place.
Nancy : Ok.
Nancy : Ok. Nous allons mettre le masque et la préoxygéner.
Glenn : Je vais tout préparer. Pulsation sanguine 80 sur 50. Respiration à 8.
Nancy : Enregistré. J’ai besoin que tu gardes son cou stable
Glenn : D’accord, vas y.
Nancy : Merci. J’y vais.
Glenn : Comment fais tu pour te rappeler tout ça?
Nancy : 7 P. Préparation, Préoxygénation, Prémédication, Paralyse, Passe le tube, Placement vérifié, soins de Post intubation. Voilà nous y sommes.
Glenn : Les pulsations reviennent.
Nancy : Le tube est sécurisé.
Mme West : Merci.
Glenn : Vous voyez ? ça va aller
Nancy : OK, les gars on charge et on y va. A l’ambulance.
Nancy : C’est bon bébé, on y est.
Mme West : Je suis là.
Nancy : Voilà Jasmine. Pompom girl de 17 ans avec une probable fracture du cou après une cascade qui a mal tourné
Diana : Tu as fait un RSI?
Nancy : Il fallait que je dégage les voies respiratoires
Diana : Encore en dehors des limites, hein ?
Nancy : Non, j’ai seulement sauvé la vie à une patiente.
Dr Joe : Elle est vivante Box quatre. Signes vitaux, Glenn?
Glenn : PB à 80 sur 50, pulsation à 110, ventilation réglée sur 12 par minute. Très bien, changez la de civière on va l’envoyer rapidement à la radio. Nous avons peut être une dislocation atlanto occipitale
Diana : Décapitation interne?
Dr Joe : Passez la civière. Rachis cervical, latéral droit, Gina.
Nurse : Oui docteur.
Dr Joe : à trois. Un, deux, trois.
Chez Tyler
Tyler : Aaaaaah... ok, ok. J’arrive, j’arrive.
Boone : Hello.
Tyler : Hey.
Boone : Hey... Termites, mon frère.
Tyler : Microbes qui se nourrissent de bois.
Boone : Non. On est en train de traiter ma maison. Sela a emmené les enfants chez sa mère.
Tyler : Oh, c’est terrible. Où vas-tu habiter?
Boone : Mec, j’ai besoin d’un endroit pour dormir.
Tyler : Réellement?
Boone : Oui.
Tyler : Tu pourrais peut être déjà entrer. Nous allons appeler quelqu’un pour s’en occuper. Peut être que quelqu’un t’acceptera chez lui.
TV : Long tir détourné...
Boone : Oh!
Tyler : quoi, quoi, quoi, quoi?
Boone : Hé, mon gars, j’adore le hockey.
Tyler : Whoa!
Boone : Lève le baton!
Tyler : Lève le baton!
Boone : Je l’ai eu!
Tyler : Oui, c’est ça!.
Boone : J‘ai pensé à quelque chose.
Tyler : Oh, non,… ne fais pas ça, tu vas te faire mal
Boone : Non. Je pense que tu devrais prendre une permanence demain.
Tyler : Hein? Attends, tu n’as pas à me rembourser parce que je te laisse rester ici.
Boone : S’il te plait, je ne peux pas.
Tyler : qu’est-ce que … si, tu peux. c’est exactement ce que tu vas faire.
Boone : Mec, pourquoi tu me donnes toujours un argument ?
Tyler : Je souhaite seulement que tu te sentes bien chez moi comme chez toi.
Boone : Ah!
Tyler : Ah ha ha ha!
Boone : Arrête de jouer à ma famille, mon frère
Tyler : Non, mec. - d’accord! d’accord! - Oh! hé! hé. qu’est-ce qui t’amène? Comment vas-tu, baby? Entre.
Asher : Oh, je vois que tu as de la compagnie.
Tyler : Non, c’est bon. Hé! Cameron, Asher. - Asher, Cameron. hé! qu’est-ce qui t’amène, mec? Cameron est mon partenaire.
Asher : Oh, cool. Partenaire, hein?
Boone : Pas comme ça, quoi.
Tyler : C’est mon partenaire de travail. Hey, qu’est-ce que tu veux, une bière?
Asher : Ha ha. Oui, oui.
Tyler : Oui, oui.
Asher : Comment est le jeu?
Tyler : C’est une bonne partie.
Asher : Allez ! Allez ! Allez, où est la défense ? allez ! Seigneur!
Tyler : Et voila, Monsieur.
Asher : Ah, merci, mec.
Tyler : J’apprécie. tchin.
Asher : Tchin, grandes oreilles
A l’hôpital.
Dr Joe : Lors de l’impact, le crâne de Jasmine a été séparé de sa colonne vertébrale. Le terme chirurgical est une décapitation interne. Heureusement, il semble que la moelle épinère soit intacte. Nous avons donc été en mesure de rattacher le crâne à la vertèbre supérieure. Nous avons également ajouté un soutien supplémentaire
Mme West : Comment va-telle?
Dr Joe : L’opération s’est très bien passée, nous avons donc des raisons d’être prudemment optimistes..
Mme West : Ce qui signifie? en termes simples, docteur, s’il vous plait.
Dr Joe : Jasmine a beaucoup de chance d’être en vie. Les traumatismes médullaires sont imprévisibles. A l’heure actuelle, elle bouge légèrement ses jambes et ses sensations sont limitées. C’est bon signe, très bon signe. Nous pouvons avoir quelques espoirs. Ca prendra un certain temps.
Mme West : Combien de temps? J’ai besoin de savoir... Quel est le pire scénario qui puisse arriver?
Dr Joe : Avec les blessures de ce type, le souci est toujours une paralysie complète
Mme West : Oh, mon Dieu.
Dr Joe : Mais c’est le pire des cas. C’est encore trop tôt pour l’affirmer, mais comme je vous le disais, ça se passe plutôt bien pour le moment. A l’heure actuelle... Nous devrions nous réjouir de ces bonnes nouvelles, OK ?
Mme West : Ok, ok. oui, ok.
Dr Joe : Ok?
Mme West : Merci, docteur.
Chez Tyler.
Tyler : Mec, c’était un bon match.
Boone : C’était génial.
Asher : Allez, la partie est finie. Je suis épuisé.
Tyler : Installe toi, mec, je te donne des draps et ce qu’il faut.
Boone : Je les tiens. Je m’en occupe. Si ça pue, c’est parce que je ne les ai pas lavés. Tu as un bobo qui doit être embrassé ?
Boone : Pousse toi de là, mec.
Tyler : Tu as tout? Très bien.
Asher : Hé.
Boone : Hé, mec.
Asher : Heureux de t’avoir rencontré.
Boone : Hé, au plaisir, mon gars. Oui, moi aussi.
Asher : Oui.
Tyler : Bien ... Allez
Boone : Hein?
Tyler : Bonne nuit hein?
Asher : Bonne nuit. OK.
Boone : Bonne nuit, mec.
Tyler : Allez.
Dans la chambre de Tyler
Tyler : Ow!
Asher : Hé.
Tyler : incroyable, mec.
Asher : Oh...
Tyler : Oh, yeah. Oh-ho, yes.
Asher : Ow. Ooh, ooh!
Dans une maison de retraite
Responsable : Il est au 214. Par là, s’il vous plait.
Rabbit : Uh-huh.
Marisa : Pourquoi je ne peux pas rester dans l’hélicoptère?
Rabbit : parce que c’est plus amusant quand tu es avec moi.
Marisa : Plus amusant? Tu as besoin de quoi?
Rabbit : Non. Allez, je travaille avec des gens compétents.
Marisa : Oh, pfft! oui, ok.
Rabbit : Hé, toi comme moi..
Marisa : Quoi? Stop.
Rabbit : Oui, je t’ai manqué, avoue le.
Marisa : OK, tu sais quoi, arrête de parler maintenant.
Rabbit : Sans moi, ta vie est vide et tu es seule. Seule, seule, seule.
Responsable : Je voulais l’amener pour déjeuner, et je l’ai trouvé comme ça. Son nom est Vaughn.
Rabbit : Bonjour Monsieur, bonjour. Hé ! mon pote.
Marisa : OK, la peau est pâle. Pas de réaction au toucher.
Rabbit : Yeux grands ouverts... regard vide. Pupilles rétractées et atones.
Marisa : Donc, à quoi tu penses, pneumonie, insuffisance cardiaque congestive, diabète possible?
Rabbit : Wow. tu es en train de devenir forte hein?
Marisa : Je sais !
Rabbit : Tu vas m’apprendre maintenant. Savez vous si Vaughn a été malade récemment?
Responsable : Il est allé à l’hôpital il y a quelques semaines pour des polypes nasaux.
Rabbit : Ils ont fait des examens, il n’est pas resté la nuit?
Responsable : Il est rentré à l’hôpital pour deux jours. Il est revenu, tout allait bien.
Rabbit : Ok, vous avez ses papiers de sortie?
Responsable : Probablement quelque part, peut être dans le tiroir.
Rabbit : Ok. Oh! Les voilà. Oh, il n’a pas retiré ses médicaments. Pourquoi ? Vous n’êtes pas supposé faire ça pour lui?
Responsable : Oui, mais, je veux dire …. Il doit nous le signaler, vous savez ?
Rabbit : Whoa, whoa. Je ne comprends pas.
Responsable : Son... son fils a été mis à pied, et ils ne peuvent pas payer pour des soins supplémentaires.
Rabbit : Ah, c’est ça. Très bien, Marisa, UCP. Gants, masque… tout de suite
Responsable : Qu’est-ce qu’il se passe?
Rabbit : Cet homme pourrait avoir une infection après sa chirurgie parce qu’il n’a pas pris ses antibiotiques. C’est ce que je devine.
Marisa : Alors qu’est-ce que cela signifie? Qu’est-ce qu’on cherche?
Rabbit : Encéphalite, méningite. Mets lui un masque de suite.. Je vais poser une perf’ de N.S. et vérifier sa glycémie. OK, lecture glucose de 44.
Marisa : Oh, eh bien, je suppose qu’il est diabétique hein?
Patient : Uh-huh. -
Rabbit : Whoa. Il t’a touchée?
Marisa : Oui, je pense en avoir reçu dans l’oeil.
Rabbit : Essuies ton œil vers le bas. Irrigue le pour le nettoyer
Marisa : Oh, merde.
Rabbit : Votre directeur va recevoir probablement un appel de l’hôpital. Nous avons actuellement une quarantaine de patients atteints de maladies infectieuses. Il faut le sortir d’ici maintenant
Marisa : Oui
A l’hôpital
Diana : Très bien essayons de repérer s’il y a des entailles récentes sur lui. Ca ressemble à une méningite pour moi.
Rabbit : Oui, c’est ce que je pensais aussi..
Diana : Très bien. Il faut prendre toutes les précautions. Amenez le dans la salle en bas. Je dois vous mettre tous les deux en isolation.
Rabbit : Quoi ? Oh, non non, je vais bien.
Marisa : Je portais mon masque, et des gants... Je vais bien.
Rabbit : Oh oui, tu n’as pas à nous mettre en quarantaine.
Diana : Si, je le dois. C’est la procédure habituelle. Désolée, les gars.
Rabbit : D’accord, allons y.
Dans la chambre de Jasmine
Diana : Comment vas-tu, Jasmine?
Jasmine : Je ne pourrai plus jamais marcher, n’est-ce pas?
Diana : Oh, non. Tu dois avoir des pensées positives, OK ?
Jasmine : Je vais essayer.
Diana : Oui. Tu pourras penser à ça plus tard, tu es réellement très courageuse. Tu peux ressentir ça?
Jasmine : Non.
Diana : Tu dois ressentir une sensation de froid.
Diana : Tu as froid?
Jasmine : Un petit peu.
Tu sais quoi? Je vais aller te chercher une couverture et je reviens de suite ok?
Mme West : Merci, docteur.
Plus tard
Diana : Elle a subi un choc spinal. Prépare là pour une neurochirurgie immédiatement.
Infirmière : Tout de suite.
Diana : Peux tu prendre sa température s’il te plait?
Infirmière : Sans problème.
Diana : Bipe le Dr. Joe.
Dans une salle pour mise en quarantaine
Rabbit : Tu es nerveuse?
Marisa : Nope. J’ai été vaccinée huit fois pendant que j’étais dans l’armée.
Rabbit : Oui, et bien, dernières vaccinations depuis, par exemple, trois ans, et tout ce que tu as fait depuis un an et demi..
Marisa : Oui, ben tu sais quoi? Si je l’ai, je l’ai. Que sera sera.
Rabbit : Wow. Tu sais, c’est dur de continuer à faire la forte une fois la méningite bien établie. La plupart des gens meurent en un à trois jours.
Marisa : mec ! Tu agis comme un gamin. Oui, et tu sais, d’autres perdent leurs reins, des membres et l’audition.
Rabbit : Oui?
Marisa : Oui, j’étais en train de lire sur ce sujet avant que tu m’interrompes brusquement.
Rabbit : Les symptômes commencent par... une grande fatigue et mal au dos.
Marisa : Ca ressemble à une journée typique après une journée de travail avec toi.
Rabbit : Ensuite, la bactérie pénètre dans les membranes entourant le cerveau et la moelle épinière. Puis tu as de la fièvre et une éruption cutanée. Ensuite, le corps rougit et devient violet. C’est une question de temps. Et tu oublies le pus... Il commence à sortir des yeux et puis de la bouche.
Marisa : Mec, stop, ok?
Rabbit : Tu commences à vomir du sang.
Marisa : Stop! Qu’est-ce qui ne va pas chez toi?
Rabbit : Je ne peux pas aider. Je m’ennuie.
Marisa : Arrête de parler quand même. Quelque chose se passe
avec le gars que nous avons amené.
Rabbit : Vraiment?
Marisa : Nous n’avons pas ce qu’il a.
Rabbit : Ne pense plus à ça.
Dans le bureau du docteur Joe
Dr Joe : Je viens de parler au neurochirurgien. Ms. West, j’ai de mauvaises nouvelles. Il semble que Jasmine restera paralysée du cou jusqu'aux pieds.
Mme West : Comment est-ce possible?
Dr Joe : Je suis désolé.
Mme West : Désolé? Ma fille est paralysée du cou jusqu’aux pieds.
Dr Joe : Je peux imaginer ce que vous ressentez
Mais Jasmine a subi une blessure grave lors de sa chute et comme je vous l’ai dit, les séquelles sont imprévisibles.
Mme West : Non. Non, non, non, non, quelqu’un doit avoir fait une erreur dans cette salle d’urgence.
Dr Joe : Mme. West...
Mme West : Et qu’en est-il des ambulanciers? Quand... quand ils ont emmené Jasmine ici, le... le docteur a signalé que le médecin secouriste avait agi en dehors du protocole. Qu’est-ce que cela veut dire?
Dr Joe : Le département des secours de San Francisco et ses ambulanciers figurent parmi les meilleures unités de notre pays. S’ils n’avaient pas agi aussi rapidement ni aussi efficacement, votre fille ne serait plus en vie aujourd’hui.
Mme West : C’est votre opinion. D’autres pourraient penser différemment... Un avocat, par exemple.
Dr Joe : Il est normal de vouloir chercher des responsabilités quand un tel traumatisme arrive. Mais je dois vous dire que je veille tout particulièrement à la qualité des soins fournis par cet hôpital et ses médecins.
Mme West : J’en suis sûre.
Dans l’ambulance de Boone et Tyler
Tyler : Hier soir, c’était génial. Je suis impatient d’être à ce soir. Ca va être …, ooh, ooh! OK? Allez! Hé, qu’est-ce qu’il se passe?
Boone : A ton avis?
Tyler : Tu t’es montré bizarre toute la matinée. qu’est-ce... qu’est-ce qu’il s’est passé?
Boone : Je ne pense pas que tu comprennes
Tyler : Quoi?
Boone : Ce qui s’est passé entre toi et Asher. Tu sais … J’ai entendu
Tyler : Ok, ok. attends, attends, attends. Ecoute, je suis jeune, j’ai des besoins.
Boone : Très bien, écoute, si je reste chez toi
Ne fais pas … ne fais pas ça.
Tyler : Oui. Juste ne rien faire pendant que tu es chez moi.
Boone : Oui.
Tyler : Donc tu arrives chez moi... sans y être invité, j’ajouterais... que tu manges mes provisions, tu bois mes bouteilles, tu me demandes de mettre ma libido en attente,
Boone : Je ne veux pas parler avec toi de toi et ta libido.
Tyler : Oui, mais tu vois, je veux parler de ma libido, et je suis aujourd’hui le chef de l’ambulance 78. Et j’aime ça, en plus c’est toi qui conduis.
Boone : J’en suis sûr.
Tyler : Oui.
Boone : OK.
Dans un night-Club
Présentateur : La prochaine danseuse à faire son apparition sur notre scène est “lovely destiny”.
Danseuse : Oh, mon Dieu, vous allez bien?
Radio : Medic 78, répondez à l’appel 3 pour un grave saignement de nez à Centerfolds dans North Beach.
Tyler : Je n’arrive pas à croire que mon premier appel en tant que chef d’ambulance soit pour un saignement de nez.
Boone : On ne peut pas choisir ses appels mon frère.
Tyler : Oui, mais au moins, c’est dans un endroit chic. - Hé, hé, hé, beauté. Whoo!
Boone : Hé qu’est-ce que tu fais?
Tyler : Quoi, je ne peux pas regarder les filles ni faire ce que je veux chez moi ?
Boone : Je suis un peu troublé, c’est tout.
Tyler : Tu as un paquet de règles, Boone. Monsieur, comment vous sentez-vous?
blessé : C’est… c’est mon nez. La strip-teaseuse, elle… elle m’a donné un coup de pied dans le visage. Je vais avoir du mal à respirer maintenant
Tyler : Ok. Hé. Ca te dérange, si je …
Boone : Oh, vas-y, tu es le chef..
Tyler : Tu es d’accord? Très bien, regardons ça. pouvez-vous pencher la tête en arrière? Je vais nettoyer tout ce sang
blessé : D’accord. Ah!
Tyler : Ok, maintenant, Monsieur, je vais
toucher votre visage tout doucement. Dites-moi si je vous fais mal ok?
blessé : D’accord.
Tyler : Vous êtes prêt?
blessé : Oui, ça fait mal mais ça va.
Tyler : très bien, Monsieur, il semble que vous avez le nez cassé. avec un possible hématome septal. Il y a un caillot de sang. Maintenant je vais vous poser quelques questions, est-ce que vous prenez des médicaments, ou est-ce que vous avez des allergies?
blessé : Non, non… pas que je sache. Ecoutez, Monsieur, je dois assister à un très important meeting, que je ne peux absolument pas manquer.
Tyler : Important?
blessé : Très important. je dois absolument y assister.
Tyler : Bien, vous ne pourrez pas y aller aujourd’hui. Vous devez aller à l’hôpital, ok?
blessé : Monsieur, est-ce que l’adresse de cet endroit... va apparaître sur votre paperasse?
Tyler : l’adresse d’ici?
blessé : Oui.
Tyler : Oui, l’adresse figurera sur le formulaire.
blessé : Ok. Ecoutez les gars... J’ai... j’ai changé d’avis, ok? Je... Je ne veux aller nulle part. Ecoutez, si ma femme... si ma femme apprend que vous m’avez trouvé à Centerfolds je suis grillé, vous comprenez? Elle va demander le divorce !
Boone : OK, nous ne mettrons que le nom de la rue sur notre fiche d’intervention, OK ?
blessé : Vous ne comprenez pas ! Ma femme, elle est comme un foutu détective ok ? Elle va me botter le cul.
Boone : Wow.
blessé : Ecoutez, les gars... Ecoutez, j’ai de l’argent, ok? On pourrait peut être s’arranger. combien voulez-vous pour mettre une autre adresse?
Boone : Nous ne pouvons accepter votre argent.
blessé : Bien, je ne veux pas connaître l’enfer. Je ne viens pas.
Boone : Vous ne venez pas?
blessé : Good-bye.
Tyler : Oh, bien, une seconde, Monsieur. Si vous ne venez pas, ça ne vous dérangerait pas de signer cette décharge qui indique que vous ne tenez pas compte de nos conseils médicaux.
blessé : Oh, super, je vais signer.
Tyler : Super? vous pensez? OK, je vais m’en occuper pour vous. Oui. Oh.. regardez moi cette signature.
blessé : Ouais. Passez une bonne journée.
Tyler : Vous également.
Tyler : Est-ce que tu penses... Est-ce que tu penses qu’il aurait payé?
Boone : Je ne sais pas.
Tyler : Maintenant, tu comprends sa proposition.
Boone : Il n’allait pas payer tant que ça.
Tyler : Ouais.
Tyler : Et bien, regarde, on dirait qu’il a obtenu son changement d’adresse.
Boone : Ne bougez pas, Monsieur. Nous arrivons.
A l’hôpital
Tyler : Vous êtes un sacré bonhomme. C’est tout ce que j’ai à dire à ce sujet. Hé, nous sommes là.
Glenn : Hi!
Infirmier : Qu’est ce que vous avez?
Tyler : Qu’est-ce que nous avons ? Nous sommes un peu passés dans un club de strip tease. Baaah!
blessé : Arrêtez de dire ça, s’il vous plait
Tyler : D’accord.
Glenn : Oh, c’était une bagarre… J’ai trouvé.
Tyler : Non, pas du tout.
Nancy : Une chaussure haut talon.
Tyler : Bingo! Il y en a toujours un brillant et un malin dans chaque groupe, c’est sûr.
Nancy : je pense qu’il vient de nous insulter. Ton partenaire est très spécial aujourd’hui, Boone.
Tyler : Non, son partenaire a beaucoup
d’énergie à dépenser et ne sait pas quoi en faire.
Boone : Je ne veux pas en entendre parler maintenant.
Nancy : Cela en fait au moins deux d’entre nous. On y va.
Glenn : Au revoir, Mesdames.
Nancy : Hé ! mets les freins.
Huissier : Nancy Carnahan?
Nancy : Oui.
Huissier : Glenn Morris?
Glenn : Oui, qu’est-ce qu’il y a? Mais qu'est-ce que c'est?
Huissier : Il s’agit d’une citation à comparaître pour une entrevue avec des représentants de la ville et l’hôpital de San Francisco. Bonne journée.
Nancy : La pom-pom girl.
Glenn : je croyais qu’elle allait bien.
Nancy : Oui, moi aussi. Attends. Hé, Joe. Joe, qu’est-ce qu’il se passe?
Dr Joe : L’avocat de l’hôpital m’a conseillé de ne pas parler de ça.
Nancy : Joe, c’est moi qui t’en parle.
Dr Joe : Je sais, Nancy. Je suis désolé.
Glenn : Hé.
Diana : Hé.
Glenn : Tu sais ce qu’il se passe avec la pom-pom girl ?
Diana : Oui, j’ai une citation aussi.
Glenn : Alors nous sommes tous concernés par cette citation
Diana : Nous? Non, Glenn, ce nest pas “nous”. L’hôpital est poursuivi parce qu’un médecin a fait une erreur, et je suis entraînée dans cette affaire, à cause de ta partenaire égocentrique.
Glenn : Quoi? Mais elle a sauvé la vie de cette fille
Diana : Non, elle fait des choix Clinique et elle effectue des procédures en dehors de sa compétence, et maintenant, une jeune fille est paralysée.
Glenn : Si elle n’avait pas fait ce qu’elle a fait, cette jeune fille serait morte à l’heure actuelle. Alors, qu’est-ce que tu veux dire?
Diana : Vous, les gars, voyez ces patients 10, 15 minutes pas plus.
Glenn : Oui.
Diana : Nous sommes ceux qui auront à traiter avec eux pour le reste de leur vie.
Glenn : Que diable voudrais tu que je fasse?
Diana : je veux que tu cesses de suivre aveuglément Nancy
Glenn : de suivre aveuglément?
Diana : Oui.
Glenn : Tu es en train de parler de ma partenaire!
Diana : Non, je suis en train de parler de quelqu’un qui navigue entre deux mondes. Les frontières entre les hôpitaux et les médecins existent pour une raison.
Glenn : Oui, elles existent pour une raison. Bien sûr elles existent.
Dans la salle de mise en quarantaine
Marisa : Tu sais que tu manges avec la bouche ouverte.
Rabbit : Oui, je sais. Sinon, comment tu fais pour mettre la nourriture dans ta bouche ?
Marisa : Oui, eh bien, pas tout le monde doit le voir.
Rabbit : Tu dois ouvrir ta bouche pour mettre la nourriture dedans. Tu viens de mettre de la nourriture dans ta bouche.
Marisa : Non, je parlais, maintenant, je mange.
Rabbit : Qu’est-ce… Qu’est-ce que tu racontes?
Marisa : OK, mais tu n’as pas à parler.
Rabbit : Dr. Joe, Dieu merci. Je suis tellement content de vous voir. Elle est en train de me rendre fou. Alors, quelles bonnes nouvelles?
Dr Joe : Le patient que vous avez amené est mort. Nous l’avons traité avec des antibiotiques à large spectre et les plus puissant disponibles.
Rabbit : Hey. Hey, Marisa, nous n’allons pas être libérés.
Marisa : Nous n’avons même pas encore les résultats de nos tests.
Dr Joe : Nous les avons actuellement. Rabbit, tu es négatif. Marisa, ton test est positif.
Marisa : Qu’est-ce que cela signifie?
Dr Joe : Il va falloir refaire un autre test. Nous avons besoin d’une prise de sang. Et toi, tu peux y aller.
Rabbit : Euh, non, je ne... Je ne pars pas.
Dr Joe : Si, tu peux.
Rabbit : Non, je n’y vais pas. Elle est ma partenaire. Je ne vais pas la laisser.
Dr Joe : Si elle est contaminée, tu vas être exposé.
Rabbit : Dans ce cas, j’ai déjà été exposé.je veux dire, quel est l’intérêt?
Dr Joe : Nous allons faire un test pour écarter une seconde infection.
Marisa : Rabbit...
Rabbit : J’ai déjà été exposé. On va faire ce qu’il dit OK. Je suis d’accord. Bon. Je vais euh... faire un tour dans le couloir.
Marisa : D’accord.
Glenn : Tu vas bien?
Nancy : Glenn, c’était une journée vraiment infernale.
Glenn : je sais.
Nancy : Rabbit est placé en quarantaine. Je suis poursuivie en justice. Je ne veux pas en parler, OK?
Glenn : Ecoute, j’essaie d’être là pour toi, comme tu l’as été pour moi.
Nancy : Oh, Glenn, s’il te plait!
Glenn : Qu’est-ce qu’il y a?
Nancy : je suis désolée, mais je... S’il te plait, laisse moi le temps de digérer tout ça.
Glenn : Tu n’es pas seule en cause, tu sais? Nous avons fait ce qu’il fallait.
Le bureau du Capitaine Basra.
Basra : Tu le sais, je pense que tu es l’une des meilleurs de ce département. Mais je n’ai pas beaucoup de marge pour te couvrir sur ce cas.
Nancy : Je ne te demande rien.
Basra : Est-ce vrai? Tu as réalisé sur elle un RSI avant le transport?
Nancy : Est-ce que je vais être déposée ?
Basra : Pas pour le moment.
Nancy : je pense que je dois contacter mon représentant
syndical avant de répondre à cette question.
Basra : c’est probablement une bonne idée
Nancy : Qu’est-ce qu’il va se passer maintenant?
Basra : L’hôpital va sûrement négocier, empêcher que cette affaire aille devant un tribunal. Mais mon instinct me dit que si tu as fait quelque chose hors-protocole ils vont essayer d’utiliser ça pour faire de toi le bouc émissaire. Ta carrière est en jeu.
Nancy : Ok.
Basra : Jouer au docteur dans l’ambulance t’a finalement rattrapée. Je suis désolé, Nance.
Tyler : Yo! Hey, que penses tu d’une bière ce soir, peut être au Centerfolds? "N’oubliez pas le pourboire des serveuses. Une nouvelle Cinnamon."
Boone : Pas de bière après le travail.
Tyler : Où vas-tu avec ton sac? Tu es toujours fou d’Asher.
Boone : Ecoute, mec...
Tyler : Hé…
Boone : Non, non, non, non, non, non. Je suis cool avec toi, ok? En tant que personne aussi bien qu’en ami, mais je ne suis pas comme toi.
Tyler : Et tu n’aimes pas ce que tu vois. Ecoute, nous pouvons … nous pouvons discuter de ça.
Boone : Ce n’est pas drôle, d’accord? Tu es un comique, mais ça ne me fait pas rire. Merci.
Tyler : Boone, non, ce qui s’est passé... écoute... ce qui s’est passé à l’appartement, ce n’est pas...
Boone : Non.
Tyler : Ce n’est pas ce que tu crois.
Boone : Non, toi, tu m’écoutes ok? C’est toujours toi, tu sais? Je suis à ton écoute tous les jours, toute la journée. Tu es toujours en train de déconner et de plaisanter. Tu n’as pas de respect pour moi ; il me semble que c’est plus important que tu ne sois que mon partenaire.
Dans la salle de mise en quarantaine.
Rabbit : Arrête de bouger. Tu es en train de me rendre fou.
Marisa : Tu es en train de me rendre folle.
Rabbit : Tu sais quoi? Mon père … m’a fait tomber sur la tête quand j’étais bébé. Si tu me regardes attentivement, mon visage est asymétrique. Tu le vois?
Marisa : J’ai l’impression d’avoir de la fièvre ou autre chose.
Rabbit : Non. Le thermostat est probablement mal réglé. Je vais leur demander de regarder quand ils reviennent.
Marisa : Tu veux bien arrêter?
Rabbit : Quoi?
Marisa : Arrête d’essayer de m’embrouiller.
Rabbit : Ce n’est pas ce que je fais.
Marisa : Si, c’est ce que tu fais. Je suis probablement en train de ressentir les symptômes de la méningite.
Rabbit : Non, pas du tout. Ne tombe pas dans le dramatique. Tu veux appeler ta mère ou quelqu’un d’autre?
Marisa : Non. Je ne veux être à la charge de personne tant que je ne suis pas sûre.
Rabbit : C’est probablement une bonne idée.
Marisa : Mais je te le dis, je me sens déjà seule.
Rabbit : Je suis debout, ici, dans ce couloir depuis 3 heures ce matin.
Marisa : Oui, mais ce n’est pas la même chose. Tu n’es pas seul, enfermé, avec ce virus qui envahit ton corps et va mettre fin à ta vie.
Rabbit : He, écoute, nous avons traversé ça ensemble, et nous allons nous en sortir ensemble, tu sais, c’est ce qui fait de nous une équipe. Voyons, partenaire. Allez!
Marisa : Non, je ne vais pas te suivre.
Rabbit : Bouge ton cul. Viens ici. Nous sommes une équipe.
Dans la salle réservée à l’enquête
Nancy : Et puis, oui, j’ai effectué une procédure généralement hors de la portée de la pratique normale paramédicale, mais je suis médecin et je suis formée pour mener à bien cette procédure, correctement.
représentant syndical : Et c’était une question de vie ou de mort.
Administrateur : Noté. Miss Carnahan, avez-vous déjà effectué des procédures en dehors du champ de pratique, auparavant?
Nancy : Oui, je l’ai fait.
Administrateur : Combien de fois? Une fois, deux fois?
Nancy : Chaque fois que je l’ai jugé nécessaire pour sauver la vie d’un patient. Le contraire n’est pas dans ma façon de faire.
Administrateur : Miss Carnahan, je sais que vous avez travaillé avec un médecin volant du nom de Ruben Palchuk.
Nancy : Oui, effectivement.
Administrateur : L’avez-vous jamais vu pratiquer hors protocole ? Répondez à la question, s’il vous plait.
Nancy : Je n’ai pas de commentaire à ce sujet.
Administrateur : Veuillez noter que Mademoiselle Carnahan a refusé de répondre à la question concernant Reuben Palchuck et ses procédures en dehors du champ de pratique. Pas d’autres questions, Mademoiselle Carnahan. Vous pouvez partir. Jim, tu veux bien rester pour signer la déposition ?
Jim : Bien sûr.
Rabbit : Hé. Marisa? Tu pleures?
Marisa : Non. J’ai peur. je ne veux pas mourir.
Rabbit : Tu sais... Tout va bien se passer. Tu le sais, non?
Marisa : Tu es un très mauvais menteur.
Rabbit : Oui, je sais.
Marisa : Tu veux bien faire quelque chose pour moi ?
Rabbit : Bien sûr. Tout ce que tu voudras.
Marisa : Tu crois que tu peux prier avec moi ?
Rabbit : Que veux-tu dire ? Sur mes genoux ou autrement ?
Marisa : Non. je veux dire, simplement… Reste avec moi. Tu dois fermer les yeux,
Rabbit : Ne dis pas n’importe quoi.
Marisa : Je n’en ai pas besoin. Dieu sait ce qu’il y a dans nos cœurs et nos esprits.
Dr Carnahan : En raison d’un conflit d’intérêts concernant ma fille, je vais me retirer de ces procédures. Mais, avant de partir, je voudrais dire quelques mots au sujet de mon ami et collègue, le Dr. Joseph Saviano. Joe et moi nous connaissons depuis plus de 20 ans et pendant ce temps, j’ai appris à l’apprécier aussi bien en qualité de médecin doué, qu’en communiquant efficace. Il a dirigé notre département de traumatologie et grâce à son professionnalisme, il en a fait l’un des meilleurs de l’Etat de Californie. Toutefois, au cours des trois dernières années, il a développé cette ... habitude de fermer les yeux, quand il s’agit de nos ambulanciers en général, et ma fille en particulier. C’est totalement infondé, Lynn. Eh bien, en qualité d’ancien chef du personnel de cet hôpital, je sais que le directeur est au sommet et sous la direction du Dr. Saviano, cet hôpital a accepté de faire une offre de plusieurs millions de dollars à la partie lésée. Je n’ai rien d’autre à ajouter. Bonne journée, Messieurs.
administrateur : pour mémoire, nous avons devant nous le Dr. Joseph Saviano
pour relater les événements du 8 mars 2010, concernant le traitement de Jasmine West par Nancy Carnahan.
Dr Joe : Très bien, ce que nous avons établi est que cette jeune fille serait morte avant d’être admise à l’hôpital. Une jeune fille paralysée est toujours un fait tragique mais établir un lien dans ce cas entre la cause et le résultat est absolument sans fondement.
administrateur : Est-il vrai que vous ayez autorisé Ruben palchuck, surnommé Rabbit à pratiquer une trachéotomie, en utilisant la mère du patient pour lui servir d’assistante? Cela fait, je pourrais ajouter, dans l’hélicoptère de sauvetage.
Dr Joe : Qu’est-ce que celà a à voir avec Reuben Palchuck?
administrateur : Répondez à la question, Dr. Saviano, s’il vous plait.
Dr Joe : Non, je ne l’ai jamais autorisé à pratiquer cette procédure.
administrateur : Avez-vous indiqué à Nancy Carnahan une procédure chirurgicale vasculaire pour refermer une artère?
Dr Joe : Le gars saignait à mort.
administrateur : Un simple oui ou non suffira, docteur.
Dr Joe : Ce n’est rien d’autre qu’un lynchage professionnel, et je ne vais pas rester assis ici vous regarder faire ça alors que j’ai du travail.
administrateur : Non, vous ne pouvez pas, Dr. Saviano. A partir de maintenant, vous êtes en congé administratif. Votre droit de pratiquer dans cet hôpital est suspendu.
Rabbit : Ne viens pas ici, sauf si tu as de bonnes nouvelles.
Diana : Tu me menaces maintenant?
Rabbit : Non, ce ne sont que des faits. Ma partenaire et moi ne pouvons accepter aucune autre mauvaise nouvelle.
Diana : Vous me voyez porter un masque?
Rabbit : Hé. Hé, réveille toi.
Marisa : Qu’est-ce que tu fais ici?
Rabbit : Eh bien... Nous ne sommes pas infectés... pas de méningite.
Diana : Nous avons refait les tests, et... Vous êtes libres de partir.
Marisa : Vraiment? Yeah! Yeah! Whoa. Oh, mon Dieu. C’est trop super! Ouais. ouais! Ohh! Ok.
Rabbit : Allez partenaire.
Marisa : Oh, vous avez vu ça. C’était...
Diana : Non.
Marisa : Bon, d’accord. Cool. Eh bien, je vais vérifier l’hélicoptère, je suppose, alors. Cool.
Rabbit : Merci docteur.
Diana : Retournez au boulot.
Chez Tyler
TV : Bien en face de la ligne, un long shot à droite du gant.
Tyler : Oh, Seigneur!
Asher : Ah!
Tyler : Je suis pour la Louisiane.
Asher : Crois-moi, un jour ou l’autre chaque équipe à sa journée.
Boone : Hé les gars: ... Deuxième retour.
Tyler : Hé. Yo. Um... Ecoute, je veux te présenter mes excuses.
Boone : Je... j’avais tort.
Tyler : Non mec, tu as marqué un point... Un grand point. Je suis désolé. je suis heureux de te voir ici, on regardait la télé. Je sais que tu adores le hockey. Pose ton sac, tu veux boire quelque chose?
Boone : Oui, merci.
Tyler : C’était un bon coup. C’était un bon coup de la hanche.
Boone : Hé, quoi de neuf, Asher?
Asher : Comment ça va, mec?
Tyler : Qu’est-ce qu’il s’est passé? Qu’est-ce qu’il s’est passé?
Asher : Ohh!
Boone : Ohh!
Tyler : Et voila, Monsieur est servi.
Asher : les requins sont repartis.
Boone : Ohh! -
Tyler : Ohh! regarde ça!
Rebecca : Hé les garcons. Tyler, quoi de neuf?
Tyler : quoi de neuf, Rebecca?
Asher : Hé, bébé.
Rebecca : Comment vas-tu?
Asher : Très bien. Comment vas tu?
Tyler : Tu veux une bière?
Rebecca : Non, c’est bon, merci.
Asher : Tu vas bien ? super.
Rebecca : Alors, qui joue?
Asher : Euh, les requins. Hey, Cameron, voila ma femme, Rebecca.
Boone : Hé.
Asher : Allez, allez, allez, allez.
Tyler : Allez, allez, allez, allez!
Asher : Seigneur, trop fermé! Ohh!
Boone : Hé, je vais y aller.
Tyler : Quoi, pourquoi?
Boone : Je veux dire, ça commence à être un peu trop bizarre par ici.
Tyler : Whoa, quoi...
Boone : Vous êtes tous les trois.
Tyler : Yo, whoa. Whoa, whoa, whoa, hey. Hé, qu’est-ce que... quoi, quoi?
Boone : je veux dire, les gars, il va se passer quelque chose ici. Je ne veux absolument pas assister à votre partie.
Tyler : Mec, mec, c’est ce que j’ai essayé de te dire L’autre nuit, quand tu étais ici...
Boone : Quoi?
Tyler : Asher est normal.
Boone : Il est normal?
Tyler : C’est mon voisin. Nous t’avons fait une farce, mec.
Asher : Je suis désolé. Tu...
Boone : Arrête. Arrête de parler.
Tyler : Mec, tu me considères comme un accro au sexe, tu as l’air de croire que je ne peux pas m’en passer. Tu as tout faux avec moi à ce sujet. Je pourrais être offensé de ce que tu croyais. J’allais l’être en fait.
Boone : je ne peux pas croire que vous vous êtes moqués de moi.
Tyler : Parce que tu sais... Tu m’y as incité.
Asher : Ok, chérie, nous allons y aller,et laisser, euh… les partenaires à leurs problèmes domestiques.
Boone : Nous ne sommes pas partenaires.
Tyler : Nous sommes partenaires. Il est dans le déni.
Boone : Je ne suis pas dans le déni.
Tyler : Tu es dans le déni.
Boone : Pourquoi tu fais ça, mec?
Tyler : c’était une plaisanterie de mauvais goût.
Boone : Je sais.
Tyler : Elle était mauvaise, mais c’était super.
TV : Bon arrêt... Le gardien de but l’a magnifiquement récupéré en dehors de sa cage. C’était magnifique.
Glenn : Je ne comprends pas.
Diana : Ecoute, le travail est le travail et ici, c’est ici, et je ne veux pas parler d’autre chose. Ce dont je veux parler en fait, c’est que tu vas dépenser trop d’argent pour ce repas.
Glenn : Oh, je ne vais pas payer ce dîner. Tu devrais le faire avec moi.
Diana : Vraiment?
Glenn : Oui.
Diana : Hmm. Je ne sais pas ce que je dois en penser.
Glenn : Sérieusement, toutes ces choses... la poursuite, le Dr. Joe congédié. C’est de cela que je veux parler. Nous sommes entraînés dans un tourbillon de problèmes.
Diana : Nous?
Serveur : Puis-je, Mademoiselle?
Diana : Oui. Tu n’avais pas besoin d’aller aussi loin.
Glenn : Moi? je ne crois pas. Je n’ai pas commandé ça.
Serveur : Avec les compliments de ce Monsieur.
Dr Joe : J’espère que je ne suis pas indiscret.
Diana : Dr. Joe. Non. Non, asseyez-vous. Um... J’ai appris ce qui est arrivé... Je voulais... je voulais dire...
Joe : S’il vous plait, s’il vous plait. Je suis libre. Alors, depuis combien de temps cela dure?
Glenn : Um...
Joe : Je n’ai rien à l’esprit Je plaisante. Ce ne sont pas mes affaires. La question ne devrait même pas se poser de toute façon. Les docteurs et les ambulanciers... Vous ne pouvez pas mélanger les deux.
Glenn : Euh, vous ne pouvez pas aider celui de qui vous êtes tombé amoureux.
Joe : C’est un choix intéressant que ces mots, mes amis… "Tombé pour." C’est réellement une chute, n’est-ce pas? Peut être que notre cerveau nous pousse à tomber amoureux. Alors que nous pensons choisir un partenaire, en réalité, nous sommes les victimes heureuses d’une nature un peu cruelle, tordue, une petite blague.
Glenn : c’est plutôt profond, Joe.
Joe : Oh.
Glenn : Qu’est-ce que vous voulez dire par là?
Joe : Pour te dire la vérité, Glenn, j’en ai foutrement aucune idée. Bon, je vous ai ennuyés assez longtemps. Je vais passer mon chemin.
Glenn : Oui... bonne nuit.
Joe : Merci.
Diana : Merci.
Joe : Au plaisir.
Diana : Nous sommes vraiment dans les difficultés.
Nancy : Qui est là? J’arrive! Joe? Tu vas bien? Entre. Entre.
Joe : C’est une très bonne question.
Nancy : Puis-je t’offrir un verre ou autre chose?
Joe : Bien sûr. N’importe quoi.
Nancy : Je crois que je n’ai que de la bière, mais...
Joe : Ca ira.
Nancy : Oui?
Joe : Tu sembles bien aller.
Nancy : Merci.
Joe : Tu ressembles à un million de dollars.
Nancy : Joe, je suis si désolée.
Joe : Comment as-tu pu me faire ce coup là, Nancy?
Nancy : Quoi? Allons, je t’ai appelé. Toi, plus que quiconque, peut comprendre ça.
Joe : Tu savais que tu ne devais pas faire cette procédure, mais tu as continué. Qu’est-ce que tu as dit d’autre à ces gens dans cette pièce?
Nancy : Tu me connais mieux que ça, voyons.
Joe : Les recommandations, la foi que j’avais en toi, je croyais en toi.
Nancy : D’accord.
Joe : il ne reste plus rien maintenant. C’est parti. Il ne reste rien.
Nancy : Il ne reste rien Joe. Nous sommes amis. Je pensais que nous étions amis.
Joe : Donc, tu ne savais pas ? Tu ne jouais pas? tu jouais la petite coquette, tu faisais un petit câlin.
Nancy : Joe.
Joe : je suis toujours avec toi. Je te donnerai tout ce que tu voudras.
Nancy : Arrête maintenant. Joe!
Joe : Mais tu sais quoi? C’est tout. Je n’ai rien. Je n’ai absolument rien maintenant, Nancy!
Rabbit : Joe, tu ne peux pas...
Joe : je n’ai absolument plus rien!
Rabbit : Joe Joe, tu ne peux pas venir ici... tu ne peux pas venir ici comme ça en essayant de blâmer les gens pour ce qui est arrivé.
Joe : Ce n’est diablement pas une façon de parler à l’homme qui t’a reconstruit petit à petit.
Rabbit : Joe... Qu’est-ce que tu veux?
Joe : je veux mon job!
Rabbit : Bien, ce n’est... Ce n’est pas de cette façon qu’il reviendra, mec. - Tu vas bien?
Nancy : Oui, ça va.
Rabbit : Je pense... Il vaut mieux que tu partes. Rentre chez toi, Joe. Vas y.
Nancy : Qu’est-ce que nous avons fait? Que diable ai-je fait?
Rabbit : Tout va bien.
[Traduit par mamynicky]